Dimanche: Jour de Marché [PV: Red Riding Hood]

Par une belle journée de printemps, Edwyn se réveilla dans uns flaque d'eau. Le ciel venait de sécher ses larmes , le magnifique ciel le mis de très bonne humeur; il décida alors d'explorer l'endroit nouveau dans lequel il était arrivé suite à de nombreux déplacements aléatoires. Il fit quelques pas sur la route pavée de ce qui semblait un village et, suivant les bruits et les cris il arriva sur une grande place où se tenait un marché.
Il découvrit alors émerveillé dans son nouveau corps la foule de marchands et les étalages emplis de victuailles en tout genre, d'étoffes multicolores et aux animaux rigolos. Il s'amusa à faire peur à quelques poules enfermées et se fit réprimander violemment par le vendeur. Il poursuivit alors sa promenade en ce nouveau terrain de jeux. Il s'arrêta quelques mètres plus loin son regard sur un étal de produits de beauté et tout particulièrement un grand miroir qui semblait très ancien avant de s'écrier:
- Oh non!!! L'humidité!!! Mes cheveux, mes magnifiques cheveux sont tout décoiffés.
Il retira son pardessus pour se couvrir le visage honteux. Baissant la tête, il vit trois petites pierres aux reflets incolores. Les trouvant jolies il les serra dans son poing avant de s'enfuir à toutes jambes avant de percuter quelqu'un...

Ah ! Une ville enfin ! Valérie s'amusait a dansé sur la place du village, on la traitait de folle, mais ça fait du bien de se dégourdir les jambes. Elle pris des pommes et des oeufs, comme objet elle pris un masque de papillon et une boula a neige représentant une cabane perdue dans la forêt, elle lui rappelait celle de sa grand-mère. Arrivée a côtés d'une fontaine elle s'assit dessus et se demandait ce qu'il fallait faire, continuer la visite, allait voir grand-mère, demandait de l'aide ? Quand tous d'un coup !

- Oh non!!! L'humidité!!! Mes cheveux, mes magnifiques cheveux sont tout décoiffés.
Il faudrait lui coudre la bouche avec de la ficelle et lui mettre un rossignol comme cheveux?

Un fou qui criait pour une coiffure, ce n'est rien, de plus n'importe quelle paysanne lui dirait de partir rapidement s'il ne veut pas un scandale. Regardant ses cheveux noirs dans la fontaine, il faisait pensait à des sangsues ce qui pour Valérie est un compliment.

Elle prit son panier et accompagné par les oiseaux roucoulant à ses côtés, comme ceux de Tierlicieux elle fut soudain percuté !

Avez-vous perdu vos yeux ? Ou avez-vous remplaçait vos yeux par des pieds ? Enfin, je comprends pourquoi vous avez crié tous à l'heure, vos cheveux sont d'un bleu, même s'il a plus beau.

Il releva la tête énervé et entendis une voix de fillette lui dire:
-Avez-vous perdu vos yeux ? Ou avez-vous remplaçait vos yeux par des pieds ? Enfin, je comprends pourquoi vous avez crié tous à l'heure, vos cheveux sont d'un bleu, même s'il a plus beau.
Il vit alors se dévoiler devant ses yeux azurés une petite fille toute de rouge vêtue aux cheveux de geais. Le temps de comprendre la précédente remarque plus que déplaisante, il lui répondit:
-Non, mais oh là!! Qu'est ce que tu raconte gamine, le bleu, mon beau bleu azuré mes magnifiques cheveux, les plus beaux cheveux du monde...et TOI tu ose les critiquer!!!
Il la regarda alors fixement dans les yeux...

VAlérie était vraiment étonner de sa remarque, il y beaucoup plus beau qu'une perruque qu'on a arracher a des pauvres oiseaux, enfin si cette "chose" sur sa tête est vraiment une perruque. Elle voulait éviter un combat, il vaut mieux s'allier que avoir plus d'ennemie, donc comme sa grand mère lui dit qu'elle a réussi dans la vie, il faut mentir :

J'en suis fort désoler mon seigneur. Je crois que c'est le choc qui a du couvrir mes yeux, en regardant de nouveau vos cheveux je constate que j'avais bien tord de dire ça. Oh, mais j'ai aussi oublié les bonnes manières !

Faisant une révérence et en relevant de peu sa robe enflammé.

Je me prénomme Valérie Browner, fils de parents mort tuaient par des lycans. .. Ma Grand-mère est mon tuteur légal. Je ne vous oblige point à vous de vous présentez et vous autorise même une gifle ou deux après mon ignoble comportement.

Je tenais alors mon panier prête a bloqué un coup, sans le montrer et regardant le Soleil pour faire croire à des larmes d'enfant apeuré. Je n'ai pas oublié ce que je faisais à ma grand-mère pour qu'elle la laisse sortir. Je baisse ensuite la tête et ferme les yeux.

Allez-y mon seigneur, choisissez la plume ou l'épée, ou partez si vous ne voulez plus me voir.

Tous les oiseaux avaient arrêté de roucouler et observer la scène, ils y croient vraiment où ils rigolent intérieurement ?

Aussi étonnant cela soit il, la jeune fille reprit ses paroles qu'elle changea pour être plus appréciable.
J'en suis fort désoler mon seigneur. Je crois que c'est le choc qui a du couvrir mes yeux, en regardant de nouveau vos cheveux je constate que j'avais bien tord de dire ça. Oh, mais j'ai aussi oublié les bonnes manières !
Complètement interloqué par ce soudain changement, il recouvra sa haine naissante d'un grand sourire. Son interlocutrice quand à elle lui tira une bien belle révérence Avant de se présenter. De toute évidence, elle était bien éduquée....aussi bien que les belles femmes qui rendaient visite à sa précédente maîtresse. Finalement, je l'aime bien cette petite, elle est plutôt gentille... mais avant de jouer avec elle, voyons la suite
Je me prénomme Valérie Browner, fils de parents mort tuaient par des lycans. .. Ma Grand-mère est mon tuteur légal. Je ne vous oblige point à vous de vous présentez et vous autorise même une gifle ou deux après mon ignoble comportement....puis enchaînantAllez-y mon seigneur, choisissez la plume ou l'épée, ou partez si vous ne voulez plus me voir.
Ses propos le surprirent au plus haut point... une gifle ou deux... non mais elle est folle, je ne suis pas aussi méchant que ça non plus... bien que partageant sa couleur je ne suis pas le monsieur méchant qui tue ses femmes Son sourire s'estompa et il lui répondit d'une voix calme:
-Bien que je n'ai pas été très agréable avec vous, je en suis tout de même pas martyr au dernières nouvelles. Je me présente, je suis Edwyn, Edwyn Spiegel né de parents inconnus et aux ascendances maléfiques. Désormais libéré, je ne suis plus soumis à aucunes règles que celles que mon coeur me dicte.Il tira également une révérence Un peu spéciale mais pas méchante... Curieux de plus la connaître, il continua:
-Et puis je savoir ce que tu fais en cette belle journée... humide? Un ton de dégout se fit sentir lors de sa dernière réplique...l"humidité et ses cheveux... cela ne fait pas bon ménage mais il passera sur ce "détail" très intrigué par le personnage qui se présentait à lui...

Dans un instant l'homme me sourit et quand je lui dis de me gifler arrétat son air énerver et semblât doux et gentil, ces parents lui aussi lui inconnu, le pauvre l'ignorance est pire que la perte Il n'a pas l'air maléfique en entendant ceci j'ai un instant rit. L'homme tirât une révérence et me dit :
-Et puis je savoir ce que tu fais en cette belle journée...humide ?

J'aimerais la savoir mon seigneur, ma grand-mère va mieux est m'a demandé de vivre ma vie, mais ma vie elle est avec elle, c'est elle qui m'a protégé des lycans et qui m'a guéri après qu'un d'entre eux m'a donné la rage. Alors, depuis je cherche à passé le temps ou a profité de ma nouvelle vie ; Et vous, que vous à amenez ici ?

Je sourie un court instant, je regardais un peu la nature attendant une réponse, les bâtiments étaient colorés et souriant, le ciel faisait un tango charmeur avec les nuages, pendant que le vent rêvait avec les arbres. Et avant de pouvoir me relever, je m'évanouis et tomber dans la fontaine. J'entendais les oiseaux roucoulait et je crus voir mes parents et mon village. Quand après un long instant je me réveillais et scrutait du regard pour voir celui qui se tenait devant moi.

Les activités maraîchères poursuivaient leur cours tandis que les deux jeunes gens, debout, au centre de cette place, près de cette fontaine faisaient connaissance. Une parade printanière par un jeune adolescent bleu à une jeune fille aux allures inquiétantes, une dispute entre deux personnes concernant une quelconque? Non, rien de tout cela tout simplement ils discutent, font connaissance et apprennent à mieux se connaître. C'est dans ces conditions que le Ciel, après avoir arrosé de toute sa grandeur le village, éclaira de tout son astre les bâtiments aux façades colorées et décrépies.
La jeune fille souria ou plutôt jubila Edwyn en fit de même sans comprendre qu'elle se riait de lui avant qu'elle ne lui réponde:
J'aimerais la savoir mon seigneur, ma grand-mère va mieux est m'a demandé de vivre ma vie, mais ma vie elle est avec elle, c'est elle qui m'a protégé des lycans et qui m'a guéri après qu'un d'entre eux m'a donné la rage. Alors, depuis je cherche à passé le temps ou a profité de ma nouvelle vie ; Et vous, que vous à amenez ici ?
D'après ce qu'elle dit, sa... Grand-Mère est quelqu'un de gentil...et surtout super balèse... ça doit être un monstre super puissant quand même.
-Elle a l'air super interessante et gentille j'aimerais la rencontrer un jour. Mais pour le moment tu es seule... moi aussi je suis seul, je ne sais pas pourquoi je suis là je ne sais pas où je suis seulement que je suis là et que je parle avec toi. Tu veux bien devenir copine avec moi?

-Elle a l'air super intéressante et gentille j'aimerais la rencontrer un jour. Mais pour le moment tu es seule... moi aussi je suis seul, je ne sais pas pourquoi je suis là je ne sais pas où je suis seulement que je suis là et que je parle avec toi. Tu veux bien devenir copine avec moi ?
Je fus interloqué par cette phrase, mais je répondus vite :

- Evidemmant mon seigneur, voulez-vous une pomme ? Elle est toute fraiche, après on pourrait faire un combat amical ?

Il fallait bien savoir de quoi mon ami était capable, seulement par curiosité.

- Evidemmant mon seigneur, voulez-vous une pomme ? Elle est toute fraiche, après on pourrait faire un combat amical ?

Je ne comprends pas bien ce qui se passe... pourquoi elle me réponds ça comme ça... mais c'est vrai que j'ai faim alors on va faire comme elle dit
-Super idée, j'ai super faim en plusDit il en se jetant sur le magnifique fruits rougeoyant qui se présentait à lui.Un combat amical alors, je veux bien mais il faut pas se faire trop de bobo hein!? Enfin, laisse moi le temps de finir de manger parce que sinon, je vais m'étouffer en esquissant un rire et retenant un rire

-Super idée, j'ai super faim en plusDit il en se jetant vers mes fruits manquant de me croquer la main, pulpeux, juteux et énorme l'envie était trop forte pour lui.Un combat amical alors, je veux bien mais il faut pas se faire trop de bobo hein!? Enfin, laisse moi le temps de finir de manger parce que sinon, je vais m'étouffer faisant un radieux sourire.

- Rassurer vous elle ne sont point empoisonné. Demandais à la vielle dame en capuchon noir qui vient de me les données.

Je me souvenais parfaitement d'elle, avec son nez crochu et ses yeux verts émeraude. Mais passons j'atendais que mon ami finisse son repas.

Edwyn au regard d'enfant s'empressa de porter le fruits rougeoyant à ses lèvres sans porter grande attention à ce que lui disait son interlocutrice. Une histoire de dame au capuchon noir... ou un truc comme ça. Il s'en délecta en se léchant les lèvres avant de s'arrêter net comme pétrifié. Il tenta d'articuler quelques mots ou sons mais ne parvint à bouger ses lèvre. Il resta ainsi quelques secondes qui lui parurent des heures avant de tomber dans un fracas de verre...

Avec un regard enfantin, l'homme azur mangea a pleine dent les fruits écarlate, il ne porter pas grandes atention a ce que je disais. Quand tous d'un coup, pétrifié le regard comme paralisé, il tomba dans la fontaine.

- Mon Seigneurs ? Vous allez bien, au secours !

Les pommes tombèrent de mon panier, dès que l'homme fut complêtement endormi, elle devenèrent toutes noires et dégageaient une odeur putride. Je pris l'homme ausitôt sur moi tant bien que mal, je faisait appel a mon pouvoir pour trouver de l'aide. J'espère qu'il dort sans plus.

Sa tête tourna dans tout les sens, des couleurs se mélangeaient devant ses yeux, des tourbillons colorés en sois mais à la fois intéressants et inquiétants tellement ils l'étaient. Du bleu, du vert du rouge, du noir, du gris, du jaune, toutes ces couleurs ne semblaient n'en former qu'une seule et unique. Une masse difforme se matérialisa et s'effaça en une fraction de secondes avant de revenir plus attrayante, chatoyante et terrifiante. Ce petit jeux dura quelques temps. Des minutes, des secondes à moins que ce ne sois des heures ou bien peut être même des années? Puis soudain, dans cette engrenage qui semblait sans fin, plus rien... puis une petite lueur semblable à celle d'une bougies en fin de vie, une douce lumière rougeâtre qui grandissait et dont il s’approcha par une simple pensée. Plus il s'en approchait, plus il en sentait la chaleur augmenter et, au risque de s'y brûler continua à s'en approcher. La curiosité est un vilain défaut dit on mais quand l'esprit est embrumé, ce n'est un détail. Arrivé, à cette lueur, une petite boule de lumière il se sentit tout à coup reprendre possession de son corps, telle une fusion entre son corps et son esprit à nouveau enfermé.
Edwyn ouvrit les yeux et vit, au dessus de lui, le visage inquiet d'une jeune fille encapuchonnée. Ses souvenirs lui revinrent en mémoire. Cette jeune fille aux airs obscurs et ténébreux, au langage et pensées inhabituelles... à y voir de plus près elle ne devait pas être beaucoup plus âgée que lui et pas si méchante qu'elle en avait l'air.
-Coucou... tu vas bien?

Je volais avec difficulté dans les airs, avec peine et inquiétude pour l'homme aux bois dormant. Comme un rossignol bleuté, il était dans un sommeil éternel, comme enfermer dans un cercueil de cristal. Comme maudit, tissant ses souvenirs avec de la laine et du fuseau, celui-ci me surpris et me dit :

-Coucou... tu vas bien ?

Oh ! Mais, que ce que ?! Par la fourrure du grand méchant loup !

Abasourdi, perdu et complètement paralysée, je me suis demandé. Il a vu mon pouvoir que vais- je faires ? Seulement, je me rendis compte, trop tard, que je l'avais lâché. Je volais partout anxieuse, je me suis dit que je devais l'appeler :

Monsieur bleuâtre, ou êtes-vous ?

Je m'agitais partout soucieuse et désemparé.

Il s'était retrouvé dans les bras de la jeune fille, sans savoir comment, et encore moins pourquoi. Bien qu'il se souvienne de sa rencontre, l'épisode des pommes semblait rester pour lui un moment assez obscur de son histoire. A chaque fois qu'il tentait de s'en souvenir, de terribles maux de têtes se faisait sentir comme pour l'éloigner de la vérité alors il abandonna cette initiative. Il continua à regarder vers le haut le visage inquiet de son interlocutrice avant de se rendre compte de la proximité des nuages, et de la masse bleutée qu'offrait la voûte céleste. Comme attiré par tant de couleurs, il tendit un bras et vacilla un peu. Le temps d'une réflexion passé, il comprit ce qui se passait: il volait. Sans plus rien n'y comprendre il reprit l'observation du chaperon quand, celle ci s'écria violemment une suite incompréhensible de mots pour son esprit toujours embrumé. Une histoire de loup ou un truc du genre mais bon, cela ne semblait pas être très important et il ferma les yeux pour se laisser porter au grès des courants d'airs... du moins c'est ce qu'il pensait. En effet, sentant la vitesse soudainement accroître, il ouvrit difficilement les yeux et chercha la jeune fille du regard avant de s'apercevoir qu'il était seul, en pleine chute libre... seul sans rien pour le protéger dans un lieu inconnu dont il ne connaissait pas même l'emplacement géographique. Il savait seulement qu'il était dans le ciel...enfin... plus pour longtemps: le sol se fit de plus en plus net et il pu bientôt distinguer les cailloux du sol.
Il ne su quoi faire, et, prit de panique se replia sur lui même assurant à son corps de verre un aérodynamisme quasiment aussi parfait que celui d'une sphère...

Je volait dans tous les sens sans savoir ce qui se passait ou se qui se passe, le temps passé sans passe temps. Comment tous sa avait pu arriver ? Ah oui cette vielle dame en noire, elle semblait si gentille pourtant ?

- Oh, mais voila une fille encapuchonnée comme moi ?! Voudrais-tu des pommes ?

Je me refuse énergiquement à toute formes de de réponses ! Même si j'aime aidé les personnes agés...

Elles sont gratuites

Je prend le panier entier.

Il ferma les yeux très forts terrifié et atteignit le sol... ou plutôt le toit d'une chaumière. Il ouvrit alors les yeux et cria très fort au secours. Les oiseaux de toute part alors amplifièrent son appel comme s'il faisait parti des leurs... être oiseau bleu aux yeux de tous procurait parfois quelques avantages...

Je fermais les yeux, quand tous d'un coupe je me cognais a un arbre et chutas dans une botte de foin, non loin d'une maisonnête.

-Mister oiseau bleu?

Ne voyant personne arriver malgré ses gémissement et sa douleur amplifiant toutes les secondes passant, Edwyn commença à s'agiter de plus en plus sur le toit de chaume. Cette dernière ployant sous la masse de l'homme miroir laissa entendre quelques craquements de ses poutres ce qui le persuada de se modérer. Il s'assit et regarda aux alentours scrutant les moindres détails. Il vit tout d'abord les rues pavées au loin et des maisons colorées. A moins qu'elle ne lui ressemble beaucoup, je dois être dans le même endroit que tout à l'heure... ou pas très loin. Les poutres se faisant une fois de plus ressentir sous lui finirent par lâcher et craquer dans un grand bruit. Prit de panique le jeune adolescent s'agita de plus belle et tomba dans une grande bassine en métal.
BOUM!!!

Si un jour on découvrait ça, on m'appellerait le Chaperon marron, je suis couvert de boue et de ce qui sembla être du "fumier". Je réussis à constater constater que la maison était vide, du moins il y avait plein de cochon et autre bête de la ferme, d'ailleurs une poule qui n'arrêtait pas de m'asticoter le capuchon, quand tous d'un coup j'entendis un fracas, puis un autre. Je courais vers le bruit, jusqu'à ce qu'un cochon glisse en dessous de moi et me force à le suivre, comme un cavalier en cavale. Alors que je voulais le force à s'arrêter, je vis l'homme en bleu, je lui donnais une petite gifle le cochon prit un saladier (rempli de "boue") dans sa bouche et le lançât sur l'homme, je lui dis :

- J'appelle de l'aide où vous voulez rester comme sa ? Juste pour savoir

Un peu sonné par sa chute, Edwyn ne se rendit pas tout de suite compte de la situation. Il était dans une maisonnette au toit de chaume à présent troué, assis dans uns bassine au contenu visqueux. Cette idée ne lui plu le moins du monde: ses vêtements, ses beaux vêtements allaient être tout sales, et surtout abîmés. Imaginer cela dans un état d'ébriété suffit à lui refaire prendre tout sa tête. Il regarda autour de lui et vit des trucs roses... enfin ,qui devaient être de base rose parce que là ils étaient plutôt bruns foncée... couleur de la boue, tout dégoulinant. Il fit la moue et jeta regarda ses vêtements avant de se mettre à paniquer.
-Ah!!! Mes habits, mes beaux habits!!!
Il agita les bras dans tout les sens quand des bruits de pas approchant vinrent mettre terme à ses cris. Il regarda en cette direction et vit, paraître, à dos de cochon, la fille au capuchon rouge qui se défit prestement de sa monture de fortune. Ce dernier, pris dans sa gueule une bassine emplie de matière visqueuse et brunâtre s'approcha de l'homme miroir et en déversa le contenu habilement, prenant soin de complètement l'en asperger. A côté la spectatrice observa la scène amusée et lui proposa son aide plus qu'utile. Mais il n'eut le temps d'accepter que l'animal de ferme lui bondit dessus le léchant. Il sentit alors, au contact de sa peau froide, lisse et parfaitement entretenue une langue râpeuse et une haleine à faire dégurgiter une baleine embaumer son air. A peine eut il le temps de reprendre son soufle dans cet élan d'affection qu'il ne songea qu'à crier à l'aide.
- Arg....a...au ...sec...our.. arg...au ...secours !!!

Le cochon s'était mis à lui lécher le visage, j'essayais de l'en empêcher tant bien que mal, celui-ci me poussât dans l'enclo des lapins. Revenant couverte de sueur, je vis le cochon, comme un roi sur son trône, assis sur l'homme en bleu en train d'essayer de manger le reste de sa nourriture. Et là, me vient une idée, je pourrais lui donner une de mes pommes, même si elle étaient empoisonnée, il tomberait juste dans un profond sommeil. D'abord, il fallait l'éloigner de l'homme :

Valérie : Viens, rejeton de duchesse, viens mon petit cochon, où je vais souffler et souffler jusqu'à ce que ta maison s'envole. Allez croque ma pomme, où j'appelles le croque mitaine, que le grand Cric te croque, avec du poivre !

Le cochon mangeât la pomme en un coup de dent, laissant le rossignol respirait, mais le cochon recrachât la pomme a moitié digérer et s'enfuit a toute jambe, après nous avoir recouvert de boue. Je regardais la pomme en train de fondre avec dégout, elle se liquéfiait, comme une sorcière dans l'eau. Celle-ci avez l'air de se diviser en petit morceaux, on aurait dit des escargots se transformant en sourie au début je croyais que c'était mon imagination, mais les restes de la pomme bougeaient ! Ils se transformaient en de minuscule sangsues, si ça avait été des araignées je n'aurais pas eu peur, mais des limaces suceuses de sangs. Je préfère mon petit cochon.

Edwyn, complètement écrasé sous la masse graisseuse et boueuse de l'animal de ferme tenta de s’extirper de sa fâcheuse situation entre deux coups de langues malheureusement bien placés. Ces derniers recouvraient généralement tout son beau visage et laissaient transparaître à chaque fois la dentition mal entretenue qui laissaient dépasser entre les dents jaunies les restes de nourriture et de cadavres de leur propriétaire. En sois cela était infect.
Comme pour remédier à cela une voix parla de pomme et de croquer et de poivre... Oh, non pas de nourriture, j'ai faim moi mais bon, cela aura au moins eu le mérite de laisser le trône de Napoléon* libre. Quand il pu à nouveau bouger l'oiseau bleu semblait plutôt... brun mais bon, il avait mieux à faire sur le moment: s'enfuir de ce monde de fou. En se relevant bien que difficilement il vit que sa sauveuse n'était autre que le fille à la capuche rouge et aux airs innocents, elle était penchée sur quelque chose et observait avec attention le contenu noirâtre de sa main. Imaginant une seule seconde quel pouvait en être le contenu Edwyn la pris par la capuche si reconnaissable et la traîna en dehors de la pièce lui faisant ainsi perdre le contenu de son poing.
- Vient on part c'est pas bien ici
Ils passèrent sous quelques arches et parvinrent à l'entrée d'où ils pouvaient admirer la couleur du jour. Cependant bien que très proches ils ne pouvaient sortir car le passage était gardé par un animal sauvage couleur de geais et à la queue déjà bien hérissée signe d'intérêt.

Quelques petites explications:

Des sangsues ! Ce n'est pas vrai, de tous les bestioles grouillantes, il faut que ce soit ça, en plus manque de pot, c'était ma dernière pomme. J'étais tétanisée, par ces choses dégoulinentes de poison. L'homme en bleu me pris par le bras et me dit que cet endroit n'était pas fait pour dormir. Il me pris par le capuchon, il a de la chance, le dernier qu'il la touchait en a perdu un bras, mais comme j'étais apeurée par ces limaces carnivores des marais. Je ne pouvais lui porter mon attention, ce qui me faisait lâcher le contenu répugnant de ma main. J'étais toujours dans ma tête, quand tous d'un coup on s'arrêtat.

Valérie : Que se passe-t-il ? Ah, je vois, parfois j'aimerais avoir les mêmes pouvoir que les princesses, comme ça juste en chantant il nous laisserait passé, tu as une idée ?

L'animal encore plus grincheux qu'un nain, nous lancez un regard noir, aussi noir que les vers de terre derrière moi. Une minute, des vers de terres noirs, << DES SANGSUES ! >> Je venais de rendre compte que je venais de crier comme une fillette devant quelqu'un, quelle honte, entre l'animal farouche et les suceurs de sang sans pattes, je ne savais pas quoi choisir, j'allais tomber dans les pommes, quand elles passèrent sous mes pieds, aussi je les agitais, il frappait le sol avec beaucoup de violence, je n'avais pas l'impression qu'il ne blessait pas ces maudites choses, au nom d'un rouge gorge a moitié aveugle, quand un deuxième animal arrivât aussi énerver que l'autre, sauf que le bout de sa queue était couvert de peinture rouge, rouge comme mon chaperon. Et la j'ai eu une idée :

A votre avis, laquelle de ces deux créatures va gagner contre ces sangsues abominables ? Je prends le rouge, ça vous dit un combat de coq pour faire passer le temps ?

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HRP : J'aimerais bien faire un combat, mais comme je n'ai pas envie de créer de mauvais lien contre ton perso, j'aimerais qu'on se serve des animeaux à la place de nos persos

Edwyn toujours la train de la tirer par le capuchon et avançant à grands pas vers la grande bête. Pourtant les yeux grands ouverts de la créature, injectés de sang ne le ralentis pas...quelque chose d'autre bloquait et son bras tirait fort. Il le regarda donc et vit à son bout, le capuchon se tendre et la fille d'à côté qui bougeait très vite les pieds. Pourquoi elle danse...c'est pas le moment de faire du charme au truc rose marron moche !!... elle à crié un truc comme "sangsue" c'est peu être un sort pour danser? Je sais pas... mais c'est nul en tout cas.... un cochon...puis un autre bondis à le rencontre de son homologue tout aussi sale et ragoutant Ah non alors, pourquoi il se dédouble... y a que moi qui peut faire ça normalement puis regardant de plus prêt Ah non... en fait celui là est plus...rouge....c'est encore plus moche en fait. La fillette lui proposa un combat de coq et cela ne fut pas de refus pour apaiser l'ambiance
- Va pour ça.... moi j'aime pas le rouge, je prends l'autre mais avant..viens Par ces belles paroles il la traina un peu plus loin à l'embrasure de la porte pour admirer le spectacle

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HRP: Oui je suis tout d'accord. On joue en équipe donc avec 10 pts chacun les cochons pareil. Quand on lance les dés s'ils sont noir on blesse son coéquipier ou sois même selon le bon vouloir du coéquipier au moment du RP, s'ils sont blanc l'attaque qu'on a lancé réussi et atteint le cochon visé. Ca te conviens comme règle?
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