Un jour mélancolique. [ PV : Red Riding Hood ]

J'ai rencontré quelqu'un de vraiment étrange, un homme azur et une fille écarlate qui se fracture a côtés d'une fontaine, qui s'échange des pommes et qui tombent en sommeil. Quel rencontre étrange, je marchais le long des maisons colorées. Je trouvais un hôtel, pour passer la nuit ou peut être plus. Je me couchais ici, mais cela étais dur à cause des pleurs d'une personne, enfin quelqu'un. Me réveillant je descendais les escaliers, allait au marché et rentrais à l'hôtel. Le marché était mère-grand et l'hôtel mon village, j'étais bien trop habitué à mon ancienne vie, je devrais arrêter, mais je ne veux pas.

J'aimais mon ancienne vie" Allégrement, je rentrais à ma chaumière et aucune gens ne me touchât un cheveu". Oui c'était un joli fragment de ma vie, je préférais ignorer pour oublier, oublier que les lycans ont détruit mon village.

Cette nuit deux pleurs de fillette ce sont faient entendre, dit donc et dire que le propriétaire ne sent plains pas.

Comme d'habitude je me coiffais devant un miroir, rappelant une connaissance, je voulais me tenter au "miroir, miroir !", mais je n'avais pas le temps. Je mettais mes chaussures, mon corset, mon indispensable chaperon rouge et me préparait à une journée belle et estivale, enfin pour eux pas pour moi. Pour moi c'était une lassitude éternelle, un long sommeil, être enfermé dans une tour d'ivoire a peignée mes cheveux long. Je m'ennuyais comme quoi.

Ecrasant les marches avec mes souliers incandescent, je poussais la porte faisant un bruit de clochette féerique, celui-ci fut accompagné par une fille manquant de s'assommer en tombant, se concassât sur le sol. Elle pleurât fortement, donc c'était elle qui pleurait toutes les nuits ? Je m'approchais d'elle et lui essuyas ses larmes avec un mouchoir brodé par ma grand-mère "MVA", ma Valérie adorée, je retenais mes larmes et lui dit avec un sourire chaleureux. :

- Mademoiselle, il vaut mieux retenir sa tristesse que la déversait, si on ne bouche pas les rivières elles nous inondent, savez-vous ? Oh excusait moi j'ai oublié la politesse, je m'appelle Valérie Browner, si vous voulez être laissée tranquille je comprendrais.

E-enchantée. Je me nomme E...elizabeth Marie B-break...

Elle souffrait, tombait a dû lui faire mal, je pris un bandage et le mouillât à une fontaine non méconnus, je l'enroulais autour de son bras. Je l'accompagnais à l'aider, je l'assis sur un banc et l'allongeais dessus. La pauvre souffrez et voulais hurler au monde sa peine, on aurait dit.

- Ma pauvre vous allez bien ? Vous voulez de l'aide ?

La pauvre elle souffrait, une journée vraiment étrange. C'est alors, que je vis des milliers de rouge gorges tournaient autour de nous. Je lui fis un sourire et lui dit :

- VOus voyez ? Même les oiseaux ont envie que vous soyer heureuse.

J'espère que ça lui remontera le morale.

Vous avez raison. Il faut que j'oublie que mon bras est fendu.

Quelque chose me dit qe ce n'est pas votre seule souffrance.

Je me demandais quand même ce qu'étais les autre souffrance.

HRP : Désoler de la courte réponse et des fautes d'ortho, mais je suis un peu déborder.

HRP : Aucun problème.

Malheureusement oui, ce n'est pas la seule.

Vous croyez être la seule ?

J'enlevais ma manche et laissait voir une marque de griffure, fait par un lycan, elle lui montrât ensuite une montre a gousset en l'ouvrant on voyait une photo qu'a fait ma petite soeur avant sa mort.

- C'est la montre de ma soeur, son docteur disait que c'était le reflet de son âme, comme vous pouvez le voir, elle n'était pas en paix.

Je zieutais la fontaine et lui désignant celle-ci

- Vous voyez cette fontaine, j'ai fait une aventure rocambolesque en me cognant sur quelqu'un, a cet endroit même.

Je regardais l'air nostalgique pleine de souvenir la fontaine.

HRP : Voila, un secret du chaperon rouge est découvert! A ajouter a ma présentation.

Remontons dans nos souvenirs, montrons de quoi nous sommes capables, mais cette montre est bien plus qu'un souvenirs fracturée, les souvenirs s'efface, mais leurs sensations jamais. Se souvenirs d'une chose perdue, est bien plus doux que se forcer a oublié un souvenir, mourir pour une chose chère à nous ou vivre en oubliant tout. Mais se souvenir je ne l'ai pas oublié le rossignol et le rouge gorge. La fille apeurée demandât :

Cette fontaine... est-elle... est-elle ensorcelée ?...

Avec un ton très grave et mystérieux

Elle peut l'être...

J'allais lui dire en prenant un air plus doux

Si c'est le cas je n'en sais rien, mais l'homme sur qui je me cognais travaillait avant pour un être maléfique si je me souviens bien. Au début il a étais très vulgaire vous n'imaginez pas à quel point ! Mais en me montrant plus gentille il c'est tous de suite adoucie

Comment il s'appelait comment déjà ? Hmmm, il faut se rappeler, ah oui lui, je continuais alors ma réponse.

Il s'appelait Edwin Spiegel si je m'en souviens bien, un homme tout d'azur, bleuâtre.

La fille chic semblait hypnotiser par mes paroles, comme un cheval par un arc-en-ciel, elle avait l'air surpris quand j'ai dit que le rossignol travaillait avant pour une personne abominable. Quand elle me répondait, je réussis a comprendre qu'elle n'a pas bien écouter ce que j'ai dit, alors elle se serait emmêler les pinceaux. Donc je la corrigeais, comme ma grand-mère quand ma mère c'est marié :

Je crois que vous n'avez pas très bien compris, Edwin est tous sauf maléfique, si je me souviens bien, c'était son ancienne patronne la diabolique. Je crois même qu'elle m'avait vendu ses pommes en se déguisant, pour essayer de l'empoisonner, vous auriez dû voir ce qu'il est arrivé a la "pomme" après ! Elle s'est transformait en des minuscules sangsues, à vous glacer le sang jusqu'àla fin de vos jours.

Quand on y repense, peut être bien que c'était effectivement elle, la vielle dame plus maigre qu'un arbre mort.

Et si je me souviens, il a l'air d'être adoré par les cochons. Comme une duchesse avec son chat joyeux.

La fille sourit de plus en plus à mes paroles et au bout d'un moment, partit dans un fou rire incontrôlable, finalement elle ne fait pas que pleurer, je commençait à m'inquièter. Ensuite elle commençât à avoir un hoquet plus qu'hilarent, contaminée moi aussi, sauf que moi je manquais a chaque battement de coeur de tombait par terre, puis j'attrapais aussi le hoquet tout aussi bruyant, j'ignorais les passants qui nous croyaient folles à lier. Mon capuchon mouillée par nos larmes de joie, faisait des couinements faisant penser àun cochon a qui, on tire la queue :

Je comp... comPRENDS ! Vou... VOUs auriEZ dû voir sa TEte quand le cochon à réveiller la bELLe au bois dORmant avec son baiser ! HAhaha !

Je me pinçais pour faire arrêter mes rires, mais rien ne marchait, alors je mettais les mains contre ma bouche en essayant de le faire taire, mais cela ne faisait que les augmentaient.

Alors, en résumée, je rencontre une fille en pleure, puis j'essaye de la rassurer, puis les villageois nous prennent pour des évadées d'un asile, c'est un bon résumer. La fille fut surprie par ma remarque sur la belle au bois dormant et le cochon, mais ensuite elle repartit de plus belle dans son fou rire. Comme moi elle essayait de se retenir, mais c'était de pire en pire, ensuite elle se cognat par terre, mais cela n'empêchat pas son rire de danser.

HAha! Dé...Dés"HOC"ler... VO..."HIC" vous êTES tOMbé ! S... Sa a fait un gRAnd "SBASH!" HAhaha "HIC" Ahhhhhh! "HIC"

En gesticulant partout je tombais dans la fontaine, ce qui ne m'empêchat pas de continuer à rire comme une folle hystérique. Quelle belle journée !

Tombait dans la fontaine je ne pouvais entendre ce que disait mon interlocutrice, mais au moins mon hoquet avait disparu et n'étais pas près de revenir, dans un moment de lucidité de dit :

Je crois que mon hoquet a disparu, vous devriez en faire de même, car "ATCHOUM!" Oh, baintenant j'éternus "ATCHOUM!"

Je sortais de la fontaine, ayant l'air saoul alors qu'en fait j'étais seulement ivre de rire, je m'approchais la tête dodelinant et éternuais toujours autant, mais je me souvenais que j'étais allergique au nénuphars, justement il y en avait dans la fontaine.

Désoler, "ATCHOUM!" je suis allergique aux nénuphars, je crois que nous devrions rentrait à l'hotel "ATCHOUM!" si on ne veut pas nous aussi être réveillait par grand bère truie et les trois petits cochons. "ATCHOUM!"

L'allergie était très dérangeante, mais mon allergie ne se fait voir que quand elle est proche d'un nénuphar, elle s'estompe aussi vite qu'elle apparait, ma grand-mère avait la même, sauf que c'était pas les nénuphars, mais les maries de ma mère et qu'e au lieu d'éternuait elle hurle "va t'en !". Pour enlevait l'idée d'une allergie grave à la femme, je lui dis :

Ne vous en faites pas mon allergie n'est pas très "dominante", mais oui rentrons à l'hôtel

Alors, je la suivais vers l'hôtel, quel bon souvenir enfin si je m'en rappelle, je demandais à Elize, euh... Lisabete, ah oui Elizabeth Marie Break, celle-ci me fit un sourire, une idée se promenait dans ma tête, mais je voulais lui dire quoi déjà ? Hmm, peut être que c'est, ah oui je voulais savoir pourquoi elle est venue dans cet endroit des plus festifs.

Pour savoir, mademoiselle Marie, que venais vous faire dans un village aussi grand et coloré ? Je comprendrais tout à fait si vous ne voulez pas répondre. Mais part pitié évitait de pleurer ou d'être triste, parce que, oups désoler, oubliais.

La séance de folie ma fais oublier de poser cette question, mais maintenant que je m'en souviens... Enfin c'est vrai que ses habits sont aussi excentriques que moi ou Edwin, rose, rouge et bleu, on a chacun une couleur a soit on dirait. C'est sûr que côtés originalité et marginalité il y en a qui peuvent avoir le premier prix.